Quand notre destinée, prend des chemins ardus,
Quand nous sommes blessés, de nos amours perdus,
Nous voudrions encore, être à notre passé,
Et contempler les ports, où nous étions ancrés…
Quand nos âmes sont lassent, isolées par la vie,
Osons faire qu’elles s’enlacent, qu’une à l’autre s’appuie.
Si nos chemins divergent, si long sont les méandres,
J’aimerais être berge, ou tu viendrais t’étendre,
J’aimerais être lit, où reposes la nuit,
J’aimerais être lit, du fleuve de ta vie.
Des tambours résonnent, aux tréfonds de mon cœur,
Lorsque je pense à toi, en rêvant de bonheur,
D’indicibles émois, peu à peu prennent place,
Et puis les cloches sonnent, et se fondent les glaces.
Quand nous sommes blessés, de nos amours perdus,
Nous voudrions encore, être à notre passé,
Et contempler les ports, où nous étions ancrés…
Quand nos âmes sont lassent, isolées par la vie,
Osons faire qu’elles s’enlacent, qu’une à l’autre s’appuie.
Si nos chemins divergent, si long sont les méandres,
J’aimerais être berge, ou tu viendrais t’étendre,
J’aimerais être lit, où reposes la nuit,
J’aimerais être lit, du fleuve de ta vie.
Des tambours résonnent, aux tréfonds de mon cœur,
Lorsque je pense à toi, en rêvant de bonheur,
D’indicibles émois, peu à peu prennent place,
Et puis les cloches sonnent, et se fondent les glaces.
Gilles