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mercredi 1 janvier 1992

Claude

Réunion amicale, pour le Départ en retraite de Claude M.

Mil neuf cent trente et un, et c’était le premier,
Où Claude, Gilbert, Joseph, Edouard à l’occasion,
Naquit en février, en famille Mansion,
Dans ce pays Picard, où est sis Mondidier.

Comme tout un chacun, à l’école s’instruit,
Et comme l’on savait, son diplôme il obtint,
Après quelques années, Ingénieur il devint,
Car ses dons cultivés, en portèrent du fruit.

Pour Sa longue carrière, qu’il va là commencer,
Dans ce Pays Rhénan, où forêts et ballons,
Sont le lot quotidien, qui masque l’horizon,
Cependant que vins blancs, sont la félicité.

A Lassigny, dans l’Oise, le poste qui s’ensuit,
Neuf ans durant resta, puis à Beauvais s’en vint,
Le bureau des Méthodes, occupa si succinct,
Le temps d’analyser, la gestion qui nous suit.

Et puis est arrivé, ici à Grandvilliers,
S’y installe, y demeure, et s’y plaît pense-t-on,
Durant vingt et un ans, il en fut le patron,
Nous l’allons regretter, si l’en peut consoler.

Car est venu moment, où l’on est éconduit,
D’un métier que l’on aine, qu’autrefois l’on obtint,
Que l’on vécu passion, et c’est là le destin,
Car l’âge pour chacun, avance quoiqu’on fit.

Mais il va maintenant, arguer la mutation,
Que suscite déjà, les cadeaux qu’il reçu.
Quand on est inventif, les mille idées venues,
Ne laissent aucune chance, à taire création.

Alors il parlera, de programmation,
Scanérisation, avant que soit venu,
Nouvelles inventions, le laissant convenu,
D’encore avoir vingt ans, quand alors elles naîtrons.

Nouvelles Inventions, le laissant convenu,
D’avoir toujours vingt ans, quant alors elles seront.

Gilles